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mardi 16 août 2011

Ledit avenir est obscurci par le capitalisme

Le capitalisme sera atteint de la fin de son époque, tout a un commencement et une fin, donc attendez-vous la fin du capitalisme. Ceux qui y souffrent, ceux qui ont perdu leur travail, ils vivent la face cachée du capitalisme. Être la proie du capitalisme n’est qu’un résultat attendu avec de nombreuses entreprises international qui se soumettent des états.

Un avenir obscur nous attend, un monde sombre avec un taux de chômage augmenté, le capitalisme y tombe pour être remplacé par un nouveau système, une nouvelle politique. La fin est le début du recommencement, c’est-à-dire que le nouveau système disparaîtra un beau jour. Rien n’est éternel !

Je suis les informations et me rends compte de la gravité de la crise financière, mais je suppose qu’il nous faut une chute du capitalisme pour y créer un nouveau monde. Je m’attendais que l’on doive faire, d’une époque en une autre. Un pont entre deux époques, qu’a l’avenir à nos enfants ? Ledit avenir est obscurci par le capitalisme, mais rien n’y est clair.

Les hommes et femmes politiques de la droite accusent la gauche de refuser la liberté à la population, mais ils diminuent les taxes pour supprimer le service public, pour que les entreprises privées puissent augmenter ses frais, la vie deviendra plus chère. Tout est bâti sur un mensonge en parlant de la liberté. Ce que l’on fait en quittant le socialisme est à vendre son âme au diable, le prix à payer est l’enfer sur la terre.

Mais pourtant, rien n’est écrit dans le futur, tout est possible, ce n’est que la volonté qui nous manque, mais cela prendra le temps pour y être réalisé. Le socialisme, tel qu’il soit, s’aura changé, comme le capitalisme. Je crois en un équilibre entre le socialisme et le capitalisme, que nous rend un conflit éternel, mais nul n’en saura. L’on devrait respecter, l’équilibre est guère là. 

Il faudrait un service public, et un service privé, que nous avons payé. Il ne fallait pas diminuer le service public, vendre les entreprises au service public non plus. Car il y a une chose qu’il ne faut jamais oublier, nous payons pour le service public.
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