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samedi 16 octobre 2010

Caroline Suard, retenue en Suède à cause d’une chute de son bébé Timo…

Elle s’emprisonnée le 14 août 2010 après une visite à l’hôpital où les médecins suédois ont dit que le bébé de Caroline a été abattu, après avoir tombé et été congé dans les barres. Un accident arrive facilement dans une maison, surtout avec un bébé. Elle a fait une grève de faim pour être libérée, elle nie à avoir voulu heurter son bébé.

Les médecins suédois disent que l’enfant a été maltraité par sa mère, il est toujours à l’hôpital en ce moment. Hospitalisé depuis un mois, mais a la mère commis un crime ?
Que voulait Caroline Suard faire le jour où Timo est tombé ?
Si je m’en demande, c’est parce que je crois en son innocence. Car une mère qui aime son enfant réagit comme elle, surtout après avoir été accusé pour un crime tellement affreux. Une mère qui n’aime pas ses enfants, elles ne sont pas nombreuses, est plus froide. Mais il y a tellement des nombreux symptômes à voir en cas des crimes commis contre les bébés. J’ai étudié la sociologie, pas la psychologie, mais il y a des symptômes qui se pourraient être expliqués par la sociologie.
Ma théorie ; Une mère qui se sent obligée de faire ce que la société lui dit de faire, pourrait réagir par maltraiter son enfant, à cause de la pression de la société. Une réaction négative, bien sûr, qui est en fait une façon de rebeller, même si la mère n’en est consciente qu’après en avoir été jugée. Ma conclusion est ceci, la société nous demande de faire des choses d’après les normes et cela peut nous conduire à un mauvais moral, c’est-à-dire qu’il est possible que la société peut changer nos comportements.
Mais dans le cas de Timo, je pense pas que Caroline a voulu blesser son enfant. Il s’agit d’un simple accident à domicile qui est en réalité une catastrophe familiale. Donc faut-il vraiment punir la mère à cause d’un accident ?
Je n’en sais rien, mais selon l’information que j’ai, je n’en crois pas ! Alors, au gouvernement suédois et surtout au ministre de la justice, libérez Mme Caroline Suard. Elle en a déjà bien souffert.

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