"Avis à Médiapart, Julian ASSANGE n'a pas épuisé toutes les voies de recours. Il peut encore saisir la Cour européenne des droits de l'Homme à Strasbourg.
La GB et la Suède sont membres du Conseil de l'Europe. Elles ont ratifié la Convention européenne des droits de l'homme.
La liberté d'expression et le droit à l'information sont un pilier de la démocratie selon la Cour de Strasbourg qui rappelle régulièrement le droit d'informer.
Extrader Assange reviendrait à hypothéquer la garantie de cette liberté essentielle dont un rapport du commissaire européen aux droits de l'Homme en rappelle l'importance." - Citation de Mediapart
"Les tractations diplomatiques se poursuivaient, vendredi 17 août, pour tenter de trouver une issue à l'affaire Julian Assange, toujours réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres, et dont le sort restait plus qu'incertain, malgré l'asile accordé par Quito.
Une vingtaine de policiers britanniques continuaient à monter la garde devant les entrées du bâtiment abritant la représentation équatorienne, qui s'est transformée en prison dorée pour le cofondateur de WikiLeaks, réfugié là depuis le 19 juin.
Tous les signes montrent une impasse politique pour la Grande-Bretagne et la Suède, mais ces deux pays européens violent les droits de l'homme en voulant extrader Julian Assange vers les autorités suédoises sans garanties de la part de la Suède.
Mais qu'est-ce que les Etats-Unis ont d'intérêt dans l'affaire Assange ? Il s'agit surtout des documents secrets publiés sur le site WIKILEAKS, mais étaient-ils si secrets ? Ne s'agit-il pas d'un piège pour arrêter Julian Assange ? Mais il n'était pas le seul à relever ces documents-là, il n'est qu'une part de Wikileaks, le fondateur du site Wikileaks, mais quelques-uns lui ont fourni l'information de ces documents-là.
Puis l'accusation des deux viols en Suède, mais personne n'en parle. Dont que s'est-il réellement passé en Suède ? Il était avec l'une des deux femmes et avait une affaire avec l'autre en même temps, cela est probablement le scénario du réel, et les agents s'en profitèrent pour arrêter Julian Assange. Quant à l'une des femmes, une sociale-démocrate, qui avait des relations avec Las Damas Blancas, c'est un peu suspect qu'une femme de gauche a des relations avec une organisation de droite, qui à son tour a des relations auprès des États-Unis. Je parle d'Anna Ardin, et j'eus de respect pour elle, mais j'ai du mal à comprendre son intérêt dans l'affaire Assange.
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