Jean-François Copé ou François Fillon ? Lequel de ces candidats sera le meilleur président de l’UMP ? Jean-François Copé a un ton sec, une personnalité forte, mais il est probablement une force pour la droite. François Fillon est doué, mais il est un homme plus calme et cela est peut-être sa faiblesse pour une présidence du parti. Ce que François Fillon dit : Histoire et diversité de la droite française
Mais pour un vrai changement dans l’UMP, pourquoi pas une femme à la tête ? Nathalie Kosciusko-Morizet, la maire de Longjumeau, elle a probablement une belle volonté, mais je trouve qu’elle a souvent raison. Par contre est-elle officiellement candidate à la présidence ? Mais mon doute concerne sa capacité d'être à la tête de l'UMP. Il faut un représentant qui puisse représenter la majorité des électeurs de l'UMP.
La droite française est également une droite plus solidaire que la droite européenne, il faut une droite solidaire et réaliste, surtout une droite juste qui représente ses électeurs. Donc au mois de novembre pourrons-nous choisir notre président, c’est important de s’interroger à ce que la droite forte pourrait être. Il faut surtout s’engager dans l’avenir, à la base partageons-nous la même idéologie, mais nous ne pourrons jamais être d’accord à 100%.
La droite française doit absolument être une contre-force face à la gauche, la gauche a une majorité absolue, cela n’est jamais un bon signe, il faut une opposition qui est forte pour débattre et trouver un équilibre politique. La politique n’est pas simple, mais se respecter est nécessaire pour un débat qui mène à une droite plus forte et juste. Il y en a une seule question que j’y pose : Quel candidat sera le meilleur choix pour l’UMP ?
De toute façon, il faut lire les propositions de chaque candidat pour choisir son candidat. Je n’ai pas eu le temps de le faire, mais j’ai commencé à le faire. Je suis une femme de droite, mais j'ai mes racines dans la gauche suédoise, mais je cherchais ma place dans la politique.
Maria Thunholm
vendredi 31 août 2012
samedi 18 août 2012
Encore un recours pour Julian Assange
Ce recours s'appelle La Cour Suprême de Strasbourg, ce que je viens d'apprendre sur le blog MEDIAPART qui a des liens utiles.
"Avis à Médiapart, Julian ASSANGE n'a pas épuisé toutes les voies de recours. Il peut encore saisir la Cour européenne des droits de l'Homme à Strasbourg.
La GB et la Suède sont membres du Conseil de l'Europe. Elles ont ratifié la Convention européenne des droits de l'homme.
La liberté d'expression et le droit à l'information sont un pilier de la démocratie selon la Cour de Strasbourg qui rappelle régulièrement le droit d'informer.
Extrader Assange reviendrait à hypothéquer la garantie de cette liberté essentielle dont un rapport du commissaire européen aux droits de l'Homme en rappelle l'importance." - Citation de Mediapart
"Les tractations diplomatiques se poursuivaient, vendredi 17 août, pour tenter de trouver une issue à l'affaire Julian Assange, toujours réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres, et dont le sort restait plus qu'incertain, malgré l'asile accordé par Quito.
Une vingtaine de policiers britanniques continuaient à monter la garde devant les entrées du bâtiment abritant la représentation équatorienne, qui s'est transformée en prison dorée pour le cofondateur de WikiLeaks, réfugié là depuis le 19 juin.
"Avis à Médiapart, Julian ASSANGE n'a pas épuisé toutes les voies de recours. Il peut encore saisir la Cour européenne des droits de l'Homme à Strasbourg.
La GB et la Suède sont membres du Conseil de l'Europe. Elles ont ratifié la Convention européenne des droits de l'homme.
La liberté d'expression et le droit à l'information sont un pilier de la démocratie selon la Cour de Strasbourg qui rappelle régulièrement le droit d'informer.
Extrader Assange reviendrait à hypothéquer la garantie de cette liberté essentielle dont un rapport du commissaire européen aux droits de l'Homme en rappelle l'importance." - Citation de Mediapart
"Les tractations diplomatiques se poursuivaient, vendredi 17 août, pour tenter de trouver une issue à l'affaire Julian Assange, toujours réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres, et dont le sort restait plus qu'incertain, malgré l'asile accordé par Quito.
Une vingtaine de policiers britanniques continuaient à monter la garde devant les entrées du bâtiment abritant la représentation équatorienne, qui s'est transformée en prison dorée pour le cofondateur de WikiLeaks, réfugié là depuis le 19 juin.
Tous les signes montrent une impasse politique pour la Grande-Bretagne et la Suède, mais ces deux pays européens violent les droits de l'homme en voulant extrader Julian Assange vers les autorités suédoises sans garanties de la part de la Suède.
Mais qu'est-ce que les Etats-Unis ont d'intérêt dans l'affaire Assange ? Il s'agit surtout des documents secrets publiés sur le site WIKILEAKS, mais étaient-ils si secrets ? Ne s'agit-il pas d'un piège pour arrêter Julian Assange ? Mais il n'était pas le seul à relever ces documents-là, il n'est qu'une part de Wikileaks, le fondateur du site Wikileaks, mais quelques-uns lui ont fourni l'information de ces documents-là.
Puis l'accusation des deux viols en Suède, mais personne n'en parle. Dont que s'est-il réellement passé en Suède ? Il était avec l'une des deux femmes et avait une affaire avec l'autre en même temps, cela est probablement le scénario du réel, et les agents s'en profitèrent pour arrêter Julian Assange. Quant à l'une des femmes, une sociale-démocrate, qui avait des relations avec Las Damas Blancas, c'est un peu suspect qu'une femme de gauche a des relations avec une organisation de droite, qui à son tour a des relations auprès des États-Unis. Je parle d'Anna Ardin, et j'eus de respect pour elle, mais j'ai du mal à comprendre son intérêt dans l'affaire Assange.
mercredi 8 août 2012
STANDARD & POOR’S, faut-il prendre leurs notes au sérieux ?
STANDARD & POOR’S, faut-il prendre leurs notes au sérieux ?
Mais que disent Moody’s et STANDARD & POOR’S ? Ils ont baissé leurs notes des pays européens, mais l’économie n’est pas le modèle américain. Le modèle américain est l’ultralibéralisme et celui-là est dangereux pour une société, les Américains aient peur du communisme, mais ils ne le comprennent même pas, au lieu d’étudier le communisme et au moins essayer de comprendre la différence entre le communisme et le socialisme, ils ferment ses yeux, n’écoutent qu’à ceux qui les accordent etc…
Je ne suis pas communiste, ni socialiste, ni libérale, mais j’essaye au moins de comprendre la différence et je le sais, peu importe l’idéologie, c’est le fanatisme qui est dangereux, tel que celui du gouvernement suédois, un gouvernement ultralibéral qui menace la sécurité sociale en Suède, un gouvernement qui voit les agences Standard & Poor’s et Moody’s comme des dieux en économie. Ce qu’il faut est un équilibre entre le communisme, le socialisme et le libéralisme, c’est-à-dire vivre en la réalité. De toute façon l’économie mondiale est presqu’artificielle, l’argent qui n’existe pas en réalité, on y invente de l’argent pour payer un état, ou une entreprise. Les pays qui sacrifient la sécurité sociale et les emplois pour le profit des entreprises multinationales seraient récompensés par les deux agences.
On y parle de leurs notes, surtout celles de Standard & Poor’s, mais il est temps d’estimer leur valeur dans le monde économique. Il faut évaluer les notes, c’en est sûr, mais une agence qui n’est pas américaine, une agence internationale avec tous les états représentés. Les États-Unis sont en voie d’une catastrophe économique, un taux de chômage qui s’augmente, de plus en plus des sans-abri.
La zone Euro, je ne suis pas pour l’euro, ni contre, mais ceux qui souhaitaient l’instaurer s’en étaient précipités, au lieu de bien voir si l’euro renforçait l’économie européenne, ils s’en précipitaient et forçaient les pays européens à créer la Banque Centrale Européenne, je trouve que l’euro est une bonne idée pour les entreprises, ça aurait pu être une monnaie électronique. Mais pour les citoyens européens l’euro n’était pas si bon, les prix ont augmenté, car certaines entreprises ont profité de l’euro pour le faire. J’en ai parlé avec des nombreuses personnes, elles disent toutes que la vie est devenue plus chère après l’arrivée de l’euro. Mais l’euro est une menace pour les Américains, une contre-force économique, mais tout ça est artificiel.
De toute façon l’économie est un reflet des idéologies, surtout celle de l’ultralibéralisme au niveau du marché international. Il y en a d’idées alternatives à découvrir, mais ose la société moderne se changer pour un monde meilleur ? J’aimerais bien voir une économie verte, mais je ne crois pas qu’il faut forcer les citoyens à s’adapter, il faut offrir les alternatives aux citoyens. Mais les entreprises doivent prendre la responsabilité et de toute façon il s’agit d’un gain en long terme, au lieu d’un gain en court terme.
Moins d’emballages égal prix baissé pour tout le monde y compris les entreprises, puis arrêter de prendre la voiture en une courte distance fait du bien pour la santé et moins de gaspillage de votre argent.
Mais que disent Moody’s et STANDARD & POOR’S ? Ils ont baissé leurs notes des pays européens, mais l’économie n’est pas le modèle américain. Le modèle américain est l’ultralibéralisme et celui-là est dangereux pour une société, les Américains aient peur du communisme, mais ils ne le comprennent même pas, au lieu d’étudier le communisme et au moins essayer de comprendre la différence entre le communisme et le socialisme, ils ferment ses yeux, n’écoutent qu’à ceux qui les accordent etc…
Je ne suis pas communiste, ni socialiste, ni libérale, mais j’essaye au moins de comprendre la différence et je le sais, peu importe l’idéologie, c’est le fanatisme qui est dangereux, tel que celui du gouvernement suédois, un gouvernement ultralibéral qui menace la sécurité sociale en Suède, un gouvernement qui voit les agences Standard & Poor’s et Moody’s comme des dieux en économie. Ce qu’il faut est un équilibre entre le communisme, le socialisme et le libéralisme, c’est-à-dire vivre en la réalité. De toute façon l’économie mondiale est presqu’artificielle, l’argent qui n’existe pas en réalité, on y invente de l’argent pour payer un état, ou une entreprise. Les pays qui sacrifient la sécurité sociale et les emplois pour le profit des entreprises multinationales seraient récompensés par les deux agences.
On y parle de leurs notes, surtout celles de Standard & Poor’s, mais il est temps d’estimer leur valeur dans le monde économique. Il faut évaluer les notes, c’en est sûr, mais une agence qui n’est pas américaine, une agence internationale avec tous les états représentés. Les États-Unis sont en voie d’une catastrophe économique, un taux de chômage qui s’augmente, de plus en plus des sans-abri.
La zone Euro, je ne suis pas pour l’euro, ni contre, mais ceux qui souhaitaient l’instaurer s’en étaient précipités, au lieu de bien voir si l’euro renforçait l’économie européenne, ils s’en précipitaient et forçaient les pays européens à créer la Banque Centrale Européenne, je trouve que l’euro est une bonne idée pour les entreprises, ça aurait pu être une monnaie électronique. Mais pour les citoyens européens l’euro n’était pas si bon, les prix ont augmenté, car certaines entreprises ont profité de l’euro pour le faire. J’en ai parlé avec des nombreuses personnes, elles disent toutes que la vie est devenue plus chère après l’arrivée de l’euro. Mais l’euro est une menace pour les Américains, une contre-force économique, mais tout ça est artificiel.
De toute façon l’économie est un reflet des idéologies, surtout celle de l’ultralibéralisme au niveau du marché international. Il y en a d’idées alternatives à découvrir, mais ose la société moderne se changer pour un monde meilleur ? J’aimerais bien voir une économie verte, mais je ne crois pas qu’il faut forcer les citoyens à s’adapter, il faut offrir les alternatives aux citoyens. Mais les entreprises doivent prendre la responsabilité et de toute façon il s’agit d’un gain en long terme, au lieu d’un gain en court terme.
Moins d’emballages égal prix baissé pour tout le monde y compris les entreprises, puis arrêter de prendre la voiture en une courte distance fait du bien pour la santé et moins de gaspillage de votre argent.
vendredi 3 août 2012
Il ne faut pas tirer le loup
Il y a environs 200 loups en France, tout comme en Suède, deux grands pays et nous devrions partager le territoire avec le loup qui est un prédateur qui prend la proie la plus faible et cela signifie qu’il maintient l’équilibre dans la biodiversité. Le loup crée toujours un débat ainsi violent, mais sachez qu’il est nécessaire dans la nature. Oui, il arrive qu’il prenne du bétail la nuit, mais il faut une clôture électrique pour protéger le bétail pour qu’il cherche à chasser sa proie naturelle.
L’Espagne en a au moins 2000 loups et la France est un pays encore plus grand. La place pour le loup existe, c’est l’homme qui doit impérativement apprendre à partager le monde avec les animaux. Le débat n’est qu’une campagne de haine. J’aime beaucoup le loup, un bel animal, un prédateur social et fantastique à étudier, qui nous ressemble.
Ce que je viens de lire dans un article du Monde m’effraye, un homme d’EE-LV dit qu’il faut tirer le loup, mais il n’en a rien à faire dans ce parti s’il est contre la véritable biodiversité, et le loup fait partie de la biodiversité. Bien sûr que le loup chasse ses proies dans la nuit, en faible lumière, mais un loup prenne les animaux les plus faibles.
Il faudra renforcer la population de loups, pour renforcer les populations de leurs proies, car ces animaux-là deviendront plus forts si les individus les plus faibles disparaissent. L’homme a créé de nombreux désastres dans le monde entier à cause de son profit des ressources naturelles. Mais un prédateur renforce les autres animaux dans son environnement.
Quand José Bové crie haro sur le loup, un article de Hervé Kempf, Le Monde, du 3 août 2012. Pierre Athanase dit que José Bové n’a rien à faire dans l’écologie s’il ne voit pas la biodiversité.
"Comme le loup est une espèce protégée par la convention de Berne, des mesures doivent être prises dans les départements où il est présent : clôtures électriques, chiens patous, éclairage nocturne, mise à l'étable des troupeaux. Par ailleurs, l'indemnisation des ovins dévorés nécessite un dossier administratif fastidieux. Et les tirs d'effarouchement, éventuellement létaux, autorisés par les préfets, sont une complication supplémentaire." - Hervé Kempf, Le Monde
Maria Thunholm
Francfort, vendredi 3 août 2012
L’Espagne en a au moins 2000 loups et la France est un pays encore plus grand. La place pour le loup existe, c’est l’homme qui doit impérativement apprendre à partager le monde avec les animaux. Le débat n’est qu’une campagne de haine. J’aime beaucoup le loup, un bel animal, un prédateur social et fantastique à étudier, qui nous ressemble.
Ce que je viens de lire dans un article du Monde m’effraye, un homme d’EE-LV dit qu’il faut tirer le loup, mais il n’en a rien à faire dans ce parti s’il est contre la véritable biodiversité, et le loup fait partie de la biodiversité. Bien sûr que le loup chasse ses proies dans la nuit, en faible lumière, mais un loup prenne les animaux les plus faibles.
Il faudra renforcer la population de loups, pour renforcer les populations de leurs proies, car ces animaux-là deviendront plus forts si les individus les plus faibles disparaissent. L’homme a créé de nombreux désastres dans le monde entier à cause de son profit des ressources naturelles. Mais un prédateur renforce les autres animaux dans son environnement.
Quand José Bové crie haro sur le loup, un article de Hervé Kempf, Le Monde, du 3 août 2012. Pierre Athanase dit que José Bové n’a rien à faire dans l’écologie s’il ne voit pas la biodiversité.
"Comme le loup est une espèce protégée par la convention de Berne, des mesures doivent être prises dans les départements où il est présent : clôtures électriques, chiens patous, éclairage nocturne, mise à l'étable des troupeaux. Par ailleurs, l'indemnisation des ovins dévorés nécessite un dossier administratif fastidieux. Et les tirs d'effarouchement, éventuellement létaux, autorisés par les préfets, sont une complication supplémentaire." - Hervé Kempf, Le Monde
Maria Thunholm
Francfort, vendredi 3 août 2012
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