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samedi 17 mars 2012

Le conflit entre les syndicats et le président...

Les syndicalistes sont élus pour représenter les salariés et leur rôle est de les défendre, mais il en est une forme de politique au niveau de travail. La colère des métallurgistes de Florange est vraie, mais il faut s'adresser à la société qui prend la décision de fermer l'usine, Nicolas Sarkozy était prêt à accueillir les syndicalistes qui représentent les syndiqués. 

"Entre Nicolas Sarkozy et la CGT, la guerre est déclarée. Jeudi 15 mars, des heurts ont opposé, devant le QG du candidat à Paris, 200 métallos d'ArcelorMittal, venus de Florange (Moselle), aux forces de police. "On n'a jamais dérapé, on est reçu avec des gaz lacrymogènes", a dénoncé Edouard Martin, un délégué de la CFDT. A la suite de ces échauffourées, la CGT, mais aussi la CFDT et FO, ont refusé de rencontrer, le 19 mars, le président de la République qui les avait invitées à l'Elysée pour évoquer l'avenir de leur usine, où deux hauts-fourneaux sont à l'arrêt depuis plusieurs mois."

 Une guerre déclarée n'en sert à rien, même si le président de la république en est responsable pour sa politique, il n'est pas responsable pour les décisions des entreprises. Il faut surtout pouvoir demander de l'aide à un président et Nicolas Sarkozy est au moins prêt à écouter à ce que les syndicalistes ont à lui dire.

Je sais que "LA FRANCE FORTE" est une utopie en réalité, mais ce slogan reste un beau discours, mais cela signifie qu'il existe une volonté chez Nicolas Sarkozy. Je sais bien que sa politique est loin d'être parfaite, mais je crois bien à sa volonté de vouloir aider les ouvriers, tout comme François Hollande et les autres candidats, mais à qui faire confiance ?

La photographie est prise depuis les places d'invitées au meeting de Nicolas Sarkozy du 11 mars 2012 à Villepinte par moi.

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